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Cheval chiens en balade : 17 astuces pour rassurer son cheval

Bonjour !
Si vous aimez l’équitation d’extérieur, vous voudrez sans doute lire le guide des 16 astuces simples pour réussir ses balades à cheval. Cliquez ici pour télécharger le guide gratuitement ! 🙂

Une balade tranquille sur un joli chemin, tout est calme, on est au pas.
Et d’un coup cheval et cavalier sursautent en même temps : sorti de nulle part, sans crier gare, un chien se jette contre un portail ajouré en aboyant. Il est le gardien de la maison et il prend son travail un peu trop à cœur. Combien de fois cela m’est arrivé ? Je ne les compte plus et cette sensation avec Oural, à chaque fois que cela nous arrive : je sursaute de surprise et il sursaute en même temps que moi. On est surpris tous les deux.
C’est le plus compliqué avec les chiens je trouve : cette imprévisibilité, ce surgissement totalement inattendu.

De façon plus générale, il n’est pas rare qu’un cheval ait peur des chiens dans d’autres circonstances. 

Pourtant, il va être important pour nous, les cavaliers de balade, d’habituer un maximum nos chevaux aux chiens tant on en croise en promenade vu que les chiens et leurs maitres aiment aussi beaucoup se promener.
La plupart du temps heureusement, les maîtres ressortent la laisse ou prennent leur chien à côté d’eux pendant qu’on se croise mais ce n’est pas toujours le cas.

Dans cet article, l’objectif est de lister des astuces pour habituer son cheval, sa jument, son poney à la présence des chiens en extérieur.

Quelques pistes de réflexion

Garder en tête cette imprévisibilité des chiens et des chevaux et la subjectivité des maitres (et des cavaliers !)

S’en souvenir peut éviter certaines surprises. 

Les chiens sont imprévisibles, ce sont des animaux. 

Les maîtres vont aussi réagir différemment : certains feront très attention et reprendront leur chien en laisse ou les garderont à côté d’eux mais ce n’est pas le cas de tous. Nous aussi les cavaliers, nos réactions ont une part de subjectivité. 

Les chevaux aussi peuvent être imprévisibles eux aussi. 

Bref, quand on voit un chien au loin, on doit donc être sur ses gardes. Prévenir son cheval calmement est une bonne idée. Et être prêt à réagir rapidement et tranquillement si besoin pour assurer sa sécurité, celle de son cheval et celle du promeneur et de son chien. 

Être conscient de tout ça permet d’être mieux préparé à des situations qui peuvent être un peu stressantes. 

Le cheval est une proie

C’est sans doute l’une des phrases dont il faut le plus tenir compte quand on se balade à cheval. Le cheval est une proie dans la nature. Il n’a pas la même perception que nous. Ses sens sont là pour observer attentivement autour de lui et si besoin fuir car la fuite est sa principale défense. La fuite, instinctive, lui a permis de survivre. Pour plus d’infos, vous pouvez aussi consulter mon article sur le résumé du livre Les Chevaux ne mentent jamais

De l’autre côté, on a le chien, qui est en fait un descendant du loup (pour plus d’infos, le CNRS a publié un article très intéressant ici). Le chien peut donc être perçu par les chevaux comme une menace potentielle. À garder en tête donc quand on est cavalier ou qu’on possède un chien et qu’on croise des chevaux.

Du coup, le mieux est de repérer d’assez loin le chien qui arrive (pas toujours possible) pour être alors attentif aux réactions de son cheval et réduire son stress et son anxiété en lui montrant qu’il n’est pas en danger et qu’on le protège.

Les signaux d’un cheval stressé ou anxieux : 

  • oreilles en arrière
  • corps qui se tend
  • arrêt ou pas précipité et fébrile
  • fuite.

Dans ce genre de cas, on en reparlera plus bas mais la voix est vraiment un allié pour rassurer son cheval.

Faire disparaître la peur est quelque chose de complexe : peut-on vraiment supprimer une émotion innée comme celle-là ? Je ne crois pas. Ce qu’on peut faire c’est apprendre à gérer cette peur, y apporter une réponse mesurée pour ne pas se mettre en danger. Dans le cas du cheval : ne pas fuir au triple galop par exemple (réaction vraiment dangereuse) mais réussir à ce que le cheval reste connecté à son cavalier et à l’écoute. 

instinct proie cheval

Mener l’enquête

Outre le fait que le chien descend du loup, pourquoi est-ce que mon cheval a peur des chiens ? 

Si vous arrivez à trouver à partir de quel moment cette peur est survenue, si vous mettez le doigt sur l’expérience qui a mal tourné et a été stressante, vous pourrez régler le problème plus vite. C’est plus difficile quand on a un cheval dont on ne connaît pas les premières années, forcément. Mais le propriétaire précédent peut peut-être vous aider en vous donnant des informations importantes. 

La peur peut venir de plusieurs choses : 

  • les aboiements 
  • l’imprévisibilité du chien 
  • l’apparition du chien, ses mouvements
  • peut-être même son odeur ?
  • le cheval considère le chien comme un prédateur.

Comprendre cette peur devrait vous aider à l’apaiser chez votre cheval. 

Et la réglementation pour les chiens en extérieur ? 

Même si l’on n’a pas de chien, en tant que cavalier, il peut être intéressant de connaître les règles qui s’appliquent aux chiens dans les différents espaces où on peut les croiser. 

Cet article récapitule les différentes possibilités. Celui-là est plus spécifique puisqu’il concerne les balades en forêt. 

Par exemple, en forêt, il y a une distinction entre 

  • la période du 15 avril au 30 juin : le chien doit être tenu en laisse en dehors des allées forestières, routes et chemins
  • le reste de l’année le chien doit être sous la surveillance de son maître et ne pas se trouver à plus de 100 mètres de lui quel que soit l’endroit dans la forêt : chemin ou pas chemin. 

La réglementation est donc plus stricte au printemps pour favoriser le repeuplement de la faune sauvage et éviter que des chiens n’attaquent d’autres espèces d’animaux à un moment crucial.

Un autre point intéressant c’est le principe de divagation : sont divaguants :

  • des chiens sans surveillance dont le maître est hors de portée (il ne peut pas les rappeler)
  • des chiens éloignés de leur propriétaire de plus de 100 mètres.

Il est notamment interdit de laisser divaguer son chien dans les terres cultivées ou non, les prés, les vignes, les vergers, les bois, les marais et sur le bord des cours d’eau, étangs et lacs.

Et enfin, le propriétaire du chien est responsable des dommages que le chien peut causer à d’autres personnes ou à d’autres animaux domestiques.

Si on devait conclure là dessus, 100 mètres ça fait une sacrée distance donc la réglementation n’est pas forcément terrible pour les cavaliers qui peuvent se retrouver à gérer un chien dont le propriétaire est quand même 100 mètres plus loin.

Cheval chiens : dans le cocon de l’écurie

Le chien de l’écurie

Il y en a souvent un : c’est le chien du propriétaire du club ou du centre équestre, il est là pour monter la garde. Il connaît les chevaux par cœur, il est dressé pour justement ne pas les mettre dans des situations de stress ou de peur. Il a appris à vivre entouré de chevaux et il est donc le chien idéal pour commencer à habituer votre cheval aux chiens sans rien faire puisque vous le croisez dans l’écurie avec votre cheval de temps en temps et que votre cheval le voit sans doute aussi quand vous n’êtes pas là. 

Ce chien habitue donc votre cheval à la présence canine quand vous êtes là mais aussi quand vous êtes en train de regarder un film sur votre canapé ou de faire les devoirs avec vos enfants. Il fait une partie du travail pour nous ! 

L’idée est d’amener le chien dans l’environnement du cheval quotidiennement et le chien de l’écurie y participe activement.

Faire vivre son cheval en extérieur

Ce point va être assez court mais le fait d’avoir son cheval au pré ou dans de grands paddocks va lui permettre de se familiariser avec de nombreux animaux : il va voir passer des oiseaux, des chiens, des faisans, des biches, etc. 

Ce bestiaire fait partie de sa vie, et en balade, s’il se retrouve nez à nez avec l’un de ces animaux il sera beaucoup plus calme.

Là encore, on n’a pas besoin d’être là pour que son cheval découvre d’autres animaux.

Le chien de la famille ou d’un ami 

Il est bien dressé et vous le connaissez. Il va pouvoir aider votre cheval à être détendu en présence d’un chien.

Selon le niveau de peur de votre cheval, il faudra peut-être juste d’abord balader le chien en laisse à côté de son paddock ou son pré : à bonne distance donc.

Comment savoir si on peut passer à un autre exercice un peu plus proche ? Tout va dépendre de la réaction du cheval : s’il est calme, c’est bien, un second exercice plus proche peut être tenté la prochaine fois. Et bien sûr on félicite son cheval.

Si le cheval admet d’avoir le chien assez proche, on peut tenter des situations apaisantes, quotidiennes et plaisantes en présence du chien. Quelques idées : 

  • brosser son cheval dans la zone de pansage avec le chien à côté (voir les règlements des différentes écuries en matière d’autorisation des chiens)
  • faire brouter son cheval.

Bref, vous l’avez compris, on amène le chien dans des zones de confiance du cheval : l’écurie, le pré, et dans des moments agréables pour le cheval. Et on félicite, on récompense si le cheval garde son calme et accepte la présence du chien.

Cheval, chiens : comment faire en balade !

La balade en main

C’est un moment idéal pour tranquilliser, rassurer son cheval et développer une complicité. Croiser un chien est un bon exercice et le mieux au début est de choisir des chemins assez larges pour qu’il soit possible de passer relativement loin du chien et de son maître. Cela permet une première approche moins stressante. 

On peut essayer aussi de partir en balade en main avec le chien de la famille ou d’un ami. ça joint l’utile à l’agréable : tout le monde se promène ensemble.

L’idée est de choisir un chien zen et qui est bien à l’écoute, forcément.

Cheval, chiens : l’importance des rênes détendues

L’un des gros pièges à cheval en balade est de vouloir diriger, stopper, gérer son cheval avec des rênes courtes : 

  • les rênes courtes transmettent la tension du cavalier au cheval
  • les rênes courtes sont une contrainte qui peuvent tendre le cheval
  • le cheval est gêné : il ne peut pas regarder comme il aimerait autour de lui alors que sa place de proie dans la nature lui rappelle sans cesse qu’il doit être aux aguets et observer attentivement son environnement. 

Avec des rênes longues : 

  • le cheval voit que le cavalier est détendu : c’est donc qu’il n’y a rien à craindre
  • il a plus de liberté pour balancer son encolure et avoir un bon pas
  • il peut tourner la tête si besoin et donc se rassurer seul sur son environnement.

Le cavalier et le cheval plus expérimenté 

Peut-être que vous avez de la chance et que dans votre écurie il y a un cavalier qui sort régulièrement avec son cheval qui ne craint pas du tout les chiens. 

Si c’est le cas, partir avec ce binôme fera un bien fou au votre : le cheval verra que croiser un chien ne cause pas de stress ou de peur pour ce cheval. Voilà de quoi être rassuré et emmagasiner de la confiance : en fait, croiser un chien avec son maître n’est pas une situation forcément dangereuse. 

Cheval, chiens : y aller petit à petit 

Pas forcément évident dans le cas du chien car on ne peut pas préparer sa balade en se disant : ok, aujourd’hui je vais croiser deux gentils chiens qui seront tenus en laisse pendant ma balade et c’est tout et la semaine prochaine j’en croiserai un tenu en laisse et un qui évoluera en liberté et les deux écouteront bien leur maître . 

C’est plus facile d’étaler les difficultés pour d’autres sources de stress du cheval (le vent, les voitures). Mais on peut quand même essayer certaines choses : 

  • une balade plus courte qui permettra de croiser normalement moins de chiens
  • éviter les zones où on s’est rendu compte qu’on pouvait croiser de nombreux chiens
  • essayer de décaler ses balades : ne pas monter le week-end mais en semaine, quand moins de propriétaires de chiens sont présents sur les chemins
  • manoeuvrer pour ne pas avoir à trop s’approcher du chien qu’on croise (parfois c’est possible avec des chemins larges ou en se mettant dans les herbes sur le côté, on commence par croiser le chien d’un peu loin et c’est un bon début)

Comme à chaque fois, il faut vraiment accepter d’être patient (y aller petit à petit, avec une graduation précise des exercices), travailler régulièrement et être persévérant. 

Être le roc de son cheval

La complicité entre un cheval et un cavalier évolue sans cesse, à chaque balade. 

La bonne nouvelle c’est que si la peur est contagieuse, le calme l’est aussi ! 

L’objectif du cavalier va donc être de montrer qu’il maîtrise les situations. Être rassurant et calmer pour donner au cheval confiance et sécurité même lors de situations qui pourraient être perçues comme inquiétantes.

La voix me semble être l’un des éléments essentiels ici : parler calmement et avec autorité permet de rassurer le cheval de l’encourager aussi. Continuer à monter aussi comme d’habitude, pour lui montrer que tout va bien, que croiser un chien est une situation anodine.

Oui mais comment réussir à garder son calme et rester le roc de son cheval en toutes circonstances pour gérer chaque situation de manière optimale et faire les bons choix ? Ce n’est pas simple mais plein de choses peuvent aider et c’est au fur et à mesure des années que notre liste va s’étoffer.

Cheval, chiens : récompenser les passages qui se passent bien

C’est ce qu’on appelle le renforcement positif : donner au cheval quelque chose d’agréable à chaque fois qu’il gère bien le croisement avec un chien par exemple. ça peut être une caresse, des félicitations orales ou même une carotte. Peu à peu, il va assimiler le croisement avec un chien à quelque chose de positif.

Garder une distance de sécurité entre le chien et son cheval

Ne pas hésiter à communiquer avec le propriétaire du chien : expliquer que le cheval est en train d’apprendre à cotoyer des chiens, qu’il faut donc qu’il contrôle bien son chien.

S’écarter. Mais ne surtout pas faire demi tour : mauvais signal.

Avec Oural, il m’est arrivé deux trois fois qu’on soit surpris tous les deux en même temps par un chien qui surgit de nulle part et se jette sur le grillage en aboyant férocement. On sursaute tous les deux et certaines fois il me fait un demi tour de peur. Dans ce cas je le rassure directement à la voix avec une caresse et je lui demande tout de suite de se remettre dans le bon sens. On passe d’un bon pas et le mouvement lui fait du bien : on s’écarte de l’endroit où est positionné le chien et il voit qu’on va réussir à partir sans qu’il ne se passe rien de dangereux.

Cheval, chiens : que faire en présence d’un chien qui ne respecte pas les distances et/ou semble menaçant ?

La badine / la cravache : bonne ou mauvaise idée ?

J’ai vu passer à plusieurs reprises des récits de cavaliers et cavalières qui conseillent l’utilisation de la badine ou la cravache dans le cas (heureusement c’est rare) d’un chien menaçant. Faire tournoyer la badine en l’associant à une voix ferme qui demande au chien de déguerpir semble avoir parfois de bons résultats mais : 

  • attention car faire tournoyer la cravache en l’air peut être un élément de stress pour le cheval s’il n’a pas été habitué
  • cela peut exciter à mon avis certains chiens…

Charger vers le chien 

Là encore, de nombreux commentaires dans des groupes de balade à cheval vont dans le même sens : charger le chien dans les cas les plus problématiques permet normalement de faire peur au chien. Heureusement c’est un cas très rare car dans la plupart des cas, en ignorant simplement le chien tout se passe bien.

Il y a deux mois par exemple, un chien de garde nous a rejoint sur un chemin et nous a suivi Oural et moi pendant bien 500 mètres. Que faire dans ce cas car le chien faisait clairement partie du genre de chiens qui me fait un peu peur (mais heureusement il ne montrait aucun signe d’agressivité). J’ai parié sur l’ignorance et tout s’est passé nickel. Le gros chien a finalement rebroussé chemin voyant qu’on n’avait strictement aucun intérêt pour lui. Bref, j’avais activé le mode fantôme. Je vous avoue que ce n’était clairement pas la meilleure partie de ma balade : ce genre de rencontre est quand même un peu stressante.

Charger vers le chien c’est une autre possibilité. L’idée est d’avancer au pas ou au trot toujours face au chien (pour que le cheval puisse le voir et ne passe pas en mode proie en faisant demi-tour) pour le faire déguerpir quand il voit arriver un cheval de 500 kilos vers lui.

Partir en avant

Il y a deux ans, Oural et moi sommes tombés sur un chien assez menaçant qui est arrivé par derrière. Je l’ai vu arriver de loin en trottinant vers vous, il a commencé à grogner et s’est vraiment mis dans les pattes d’Oural en menaçant de le mordre.

Je n’avais jamais réfléchi à quoi faire dans ce genre de situation puisque ça ne m’était tout simplement jamais arrivé. 

Les propriétaires étaient très loin, mais vraiment loin. 

J’ai crié au chien d’arrêter tout de suite. J’ai hurlé aux propriétaires de rappeler leur chien mais ils étaient tellement loin qu’ils ne m’ont pas entendu je pense.

J’ai aussi fait signe au chien avec mes bras de partir. 

Mais tout ça n’a rien changé. Il continuait de se caler dans nos pattes et j’avais peur qu’il blesse Oural.
Finalement j’ai demandé à Oural de partir au trot. On est parti à un bon rythme et le chien n’a pas suivi. ça le faisait aller peut-être trop loin de ses maîtres qui étaient déjà très loin derrière ? En tout cas j’ai fait le choix de lui demander de partir en avant et ça c’est bien terminé (attention, ce n’est pas Oural qui a fui, la distinction est importante).

Faire comme si de rien était

C’est une autre solution possible dont j’ai déjà un peu parlé plus haut. Je vous montre un exemple de ce que ça peut donner ci-dessous où ça avait bien fonctionné : les chiens étaient curieux et étaient donc venus nous voir en gambadant. Heureusement c’était plutôt de la curiosité que de l’excitation ou un caractère menaçant du coup, continuer tout droit en rassurant simplement Oural avait très bien marché.


Bref, selon la situation, l’une ou l’autre des possibilités sera la meilleure, mais c’est difficile de savoir laquelle : ça va dépendre de tellement de critères… Le lieu, le chien, le cheval, le cavalier, les maîtres, le contexte…

Conclusion : cheval chiens, gérer sereinement quand on se croise en balade

Comme à chaque fois (et c’est ça aussi qui fait la beauté de l’équitation d’extérieur), on se retrouve à devoir gérer de l’imprévisibilité et des émotions : 

  • nos émotions
  • celles de notre cheval
  • les émotions du chien
  • les émotions du maître.

Et ça fait beaucoup. L’une des missions du cavalier, c’est donc d’être très observateur pour être prêt à analyser rapidement l’arrivée d’un chien comme un véritable enquêteur

  • quelle est son humeur ? 
  • quel est son niveau de dressage ?
  • le maître est-il dans les parages et a-t-il l’air de gérer ?
  • quelles sont les réactions de mon cheval (est-ce qu’il reste calme, est-ce qu’il commence à stresser ?)

Toutes les réponses à ces questions vont dicter la réponse la plus appropriée à la situation. Et on a vu qu’il y avait énormément de possibilités.

Si vous avez besoin d’aide et de planifier des séances de travail avec quelqu’un pour ne pas être seul, n’hésitez pas à vous rapprocher d’un moniteur ou d’un professionnel pour essayer de régler ce problème avec lui.

 

À vos commentaires : avez-vous déjà vécu des situations stressantes avec des chiens en balade ? Et surtout comment vous vous en êtes sorti ?

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